สวัสดีค่ะ - sawat di kha - bonjour
Cela fait maintenant un mois que je suis à Koh Tao et... que je ne vous écrit plus. C'est que la vie que je mène ici est si paisible, si facile, si agréable. Je me laisse bercer par les flots, j'admire la vue, je déguste lentement chaque journée qui passe.
Que vous dire de plus? Je n'ai pas le goût de repartir. Je m'imagine passer le reste de mes jours ici. Des sourires, du soleil, de la beauté tout autour de moi. Pourquoi voudrais-je quitter?
Koh Tao n'est pas faite pour tous. Vous aimez les grandes villes, les musées, le bruit, les grosses voitures, les voisins gonflables? Fuyez, fuyez à toutes jambes, cette île n'est pas pour vous.
Mais si une vie tranquille avec des gens agréables et un environnement serein vous intéresse, eh bien... accourrez, vous serez accueillis à bras ouverts.
Mon hôte actuel, un écossais, ayant travaillé en Angleterre, Malaisie, Indonésie,... y est venu une fois, deux fois, trois fois et il est finalement resté accroché. Quand il a vu toute cette joie de vivre autour de lui, il a décidé que lui aussi avait droit à ce bonheur et il s'y est installé. Il faut aussi dire qu'en plus de tout ce que Koh Tao a à offrir, il a rencontré l'Amour sur cette minuscule île du golfe de la Thaïlande.
Il a abandonné la sécurité financière et s'est lancé dans l'aventure en devenant propriétaire, avec sa douce moitié, d'une petite station balnéaire. Tout un risque quand on songe au fait qu'ils l'ont acheté au début de la pandémie. Et, malgré ces circonstances, il n'y a pas un jour où il ne se félicite du choix qu'il a fait.
Vous ai-je dit qu'il est écossais... avec un si charmant accent. Je n'ai pu m'empêcher de le comparer avec James Alexander Malcolm MacKenzie Fraser, héro de la série de romans Le chardon et le tartan, comparaison qu'il soutient avantageusement...
Et maintenant, laissons parler les images de mon petit nid pour les prochains jour, le Tree House Cafe, et de Koh Tao car... une photo vaut mille mots.
crédit: André Bouillon